Les deux transitions
Pour permettre la transition des modes de vie, une transition vers la démocratie économique s’impose très naturellement. Une nécessité souvent oubliée.
Pour permettre la transition des modes de vie, une transition vers la démocratie économique s’impose très naturellement. Une nécessité souvent oubliée.
Innover et améliorer sont les deux formes habituelles du progrès. Mènent-elles au meilleur ou au pire ? C’est selon. Les Douxvillois tentent de jeter un regard lucide sur les progrès du passé et sur ceux du futur.
Moitié marché, moitié brocante, on trouve de tout au marché du jeudi de Douxville. Haut lieu de la vie sociale, il assure une bonne partie de la circulation des produits alimentaires et des objets les plus divers. Et je ne parle pas de la circulation des idées et des potins ni de l’ambiance festive qui y règne.
« Qu’est-ce qu’on attend ? » est un film documentaire enthousiaste sur Ungersheim, ville en transition.
Mais jusqu’à quel point de la transition est-elle parvenue ? Les chiffres parlent, aussi bien que les mots !
Des trois, quelle circularité est la moins authentique, celle de la nature, celle de nos aïeux ou celle de l’économie industrielle d’aujourd’hui ?
Une réflexion critique autour de la circularité permet d’approcher ce que devrait être une économie réellement pérenne.
Qu’est-ce qui cloche dans les (grandes) entreprises d’aujourd’hui ? Pas grand chose. Seulement un petit détail : la prise en compte de l’intérêt général !
Le législateur a fini par y remédier.
La complexité des réseaux techniques, des chaînes de production ou des institutions est devenue « impayable ». En énergie autant qu’en ressources humaines. Douxville doit-il s’en délivrer pour éviter l’effondrement ?